"Je n'ai qu'un désir : quand je serai mort, je veux que mes cendres soient balancées sur Diên Biên Phu. Je rejoindrai tous les camarades. Qui le fera ? Je l'ignore. Mais si on y parvient, comme je l'ai déjà dit, ça aura de la gueule et ça emmerdera les deux Gouvernements".
Marcel Bigeard
Ma vie pour la France, p. 198